Ne jugez pas

Ne jugez pas

Il est certains jours
Où mon coeur fait mal,
Mais pas toujours,
Oui, ce n'est pas normal

Y en a qui me disent
C'est une déprime,
Gémir n'est pas de mise,
Répondrait le poète des rimes.

Mais que savent-ils déjà
Ces donneur de leçons,
Qui arrivent par ci, par là
Me critiquer de cette façon.

Comme il est facile de rire
De l'ombre, derriere mon dos,
Mais lutter sans rien dire
O ma vie, c'est toi mon lot...

Ils ne connaissent rien,
De ma force qui disparaît,
Pour vous, tout va bien,
Copains des jeunes années.

Je ne peut plus vous suivre
Je reste seule, ... enfermée,
Mon secret je vous le livre
Je n'arrive plus a marcher...

Ah si j'étais pareil à ceux
A qui la chance a souri,
Serais-je un de ces apôtres
Qui lâchent une main d'amie?

Je ressens l'unique certitude
Que parfois l'amitié est trahie...
Ô triste chant de la solitude
Sur le chemin de la nuit...

Ainsi je vous fais cadeau,
De mes tourments secrèts,
Je porterai seule ce fardeau,
Mais arrêtez de me juger!...

Tu me manques terriblement
Pourquoi cette séparation?
Je t'aime tellement
Que cherches-tu?
Que veux-tu?
Tu es si doux, si bon
Nous étions si bien ensemble
Je suis si triste
Je pleure car je ne comprends pas
Pourquoi tu n'acceptes pas mon amour?
Tu es si drôle, si amusant
Nous aimions tant rire
Et être tous les deux
Je me sens si seule sans toi
J'aimerais être dans tes bras
Oh! mon amour je t'aime
Reviens-moi.....

Tu es comme un soleil
Qui illumine mon cœur.
Comme un matin qui chante,
Aube d'un nouveau bonheur.

Et mon âme s'émerveille
D'avoir vaincu l'attente,
Qui n'était que soupirs,
De tristesse et de peine.

Comment ai-je pu vivre,
Si éloigné de toi?

J'ai du mourir cent fois,
Et, mille fois te languir,
Refusant ton retard.

Déserte et vaste plaine,
Qui usait mon regard.

Quand au bout du chemin,
Un éclat merveilleux
Vint m'annoncer la fin
Du voyage cahoteux.

Celui de mon errance
Au bord de la folie,
Espoirs et croyance
Au bonheur infini.

Parti à la recherche
Du fantôme interdit,
Un ange est apparu.

Il avait ton sourire,
Et la joie de tes yeux,
La fraîcheur de ton corps,
Et, la fin de ma mort...

... Enfin! Tu es là.